
Huahine, légendes, vanille et biodiversité
Sur Huahine, les oiseaux servent de réveil. Ils sont très présents, surtout dans la forêt, et font un vacarme magnifique. Je rejoins mes hôtes sur la terrasse, Marc m’invite à le suivre dans le jardin.
Comme Jacques Brel l’a souvent évoqué - au point d’y passer les dernières années de sa vie -, Thomas Risse veut se rendre à son tour en Polynésie pour comprendre ce que son auteur préféré y a trouvé de si inspirant. Une fois sur place, il prévoit de se déplacer uniquement en bateau pour vivre au rythme de l’océan. C’est la façon la plus authentique de s’imprégner et de vivre la culture polynésienne, selon lui. Il entend utiliser la photo et l’écriture pour raconter son voyage.
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Sur Huahine, les oiseaux servent de réveil. Ils sont très présents, surtout dans la forêt, et font un vacarme magnifique. Je rejoins mes hôtes sur la terrasse, Marc m’invite à le suivre dans le jardin.
Les aéroports insulaires de Polynésie n’ont rien à voir avec ceux des capitales ailleurs dans le monde. Ils sont petits, très ouverts, dépourvus de portiques de sécurité, ils feraient frémir plus d’un Newyorkais.
Mon avion pour Bora décolle tôt ce matin. Je me lève donc de bonne heure, car l’aéroport est à l’autre bout de l’ile et je m’y rends en stop.
Ce matin, je me rends au port de Pape’ete pour prendre le ferry, cap sur Mo’orea. La traversée dure 45 minutes, la mer est calme.
Je passe quelques jours à Pape’ete, Céline me fait visiter la ville : elle se résume à une longue rue avec des boutiques sur le front de mer et un grand marché couvert dans le centre.
Ce mercredi 4 mai 2016, j’atterris à Pape’ete. La ville est la capitale de la Polynésie française, sur l’ile de Tahiti. Je sors de l’avion accueilli par un Ori Tahiti, la danse traditionnelle du pays. Il est 5h du matin, le soleil peine encore à se lever, pourtant l’agitation est déjà là.