Morel’s Lake
En ces temps de Covid, je découvre la capacité qu'ont les yukonnais à trouver de nouvelles activités.
Maeva Terbois, du collège Sismondi, va entamer un voyage de recherche sur elle-même, dans le Grand Nord américain (Yukon & Alaska). Ce voyage aura également comme but d'approfondir ses connaissances de la langue anglaise en vivant et communiquant avec les habitants locaux. Elle souhaite pouvoir bénéficier de cette expérience pour mûrir personnellement et partager son voyage par le biais de l’écriture tout en étant particulièrement attentive aux deux problématiques qui lui tiennent à cœur : l’écologie et les minorités.
En ces temps de Covid, je découvre la capacité qu'ont les yukonnais à trouver de nouvelles activités.
A mon retour, l’hiver étant enfin parti et la glace ayant enfin fondu, Bernard pu commencer à sortir l’hydravion. Là encore mon voyage pris une autre tournure puisque dès lors la plupart de nos déplacements se seront faits dans les airs.
Ne pouvant toujours pas aller en Alaska, j’ai donc décidé de poursuivre ma visite du Yukon. J’ai fini par faire toutes les villes aux alentours de Whitehorse.
Le Covid n’étant pas encore passé, j’ai repris mes longues promenades en voyant cette fois les paysages changer, fondre lentement.
Cette deuxième partie de mon voyage devait normalement se dérouler en Alaska. J’aurais dû prendre la route début mars et passer plus d’un mois en road trip là-bas.
J’ai eu aussi la chance dans ce début de voyage de prendre part à une course extrême qu’on dit être la plus dure au monde. Il s’agit de la Montane Yukon Artic Ultra.
Me voilà enfin de retour à Whitehorse, j’attendais ça depuis déjà 4 ans. Je savais bien que j’allais avoir froid et pourtant j’ai été surprise.