Morel’s Lake
En ces temps de Covid, je découvre la capacité qu'ont les yukonnais à trouver de nouvelles activités.
par Maeva Terbois · 03.04.2020
Le Covid n’étant pas encore passé, j’ai repris mes longues promenades en voyant cette fois les paysages changer, fondre lentement. En même temps, les premiers ours commencent à se réveiller et la prudence est donc de mise seule dans les bois. Pour ma part, c’est devenu là-bas mon animal préféré. Ils sont adorables et si drôle dans leur façon de se déplacer et de se comporter. Et j’en ai vu maintenant plus d’une dizaine sans jamais observer chez aucun un quelconque comportement agressif. Pandémie ou pas, les animaux ici sont visibles toute l’année, à peine on met le pied dehors, juste en respectant les règles de sécurité de base connues de tous au Yukon.
En ces temps de Covid, je découvre la capacité qu'ont les yukonnais à trouver de nouvelles activités.
A mon retour, l’hiver étant enfin parti et la glace ayant enfin fondu, Bernard pu commencer à sortir l’hydravion. Là encore mon voyage pris une autre tournure puisque dès lors la plupart de nos déplacements se seront faits dans les airs.
Ne pouvant toujours pas aller en Alaska, j’ai donc décidé de poursuivre ma visite du Yukon. J’ai fini par faire toutes les villes aux alentours de Whitehorse.