Fin de voyage et projet Chimère
Afin de poursuivre notre projet de marque de vêtements, nous aimerions créer une nouvelle collection aux motifs inspirés de l'art de cette région du monde, cela, avant de partir.
par Elie Meuret et Gilles Courvoisier · 18.07.2023
Au skate-park,
Après avoir escaladés les pentes menant au skatepark, nous arrivâmes en ces lieux déconnectés d’une certaine pauvreté environnante. Isolés dans la poussière, ces lieux idéaux qui offrent une vue imprenable sur la mer, accueillent les enfants et adultes, tous skateurs.
Isolé, ce lieu rassemble toute une culture si proche de celle en Europe. La mer est en effet, la seule barrière
entre nos cultures et internet qui a su je crois, transmettre les influences plus rapidement qu’une simple traversée. Là-bas, les enfants sourient fièrement face à nos caméras et s’amusent à nous montrer leur jeux assis sur les skates mis à disposition par l’association.
Le skate-park de Taghazout a été un morceau de paradis perché dans les nuages. Lieu de contemplation et d’apaisement. Il a été un lieu de rencontres extérieures et intérieures en tant qu’il a été le créateur de réflexion et d’ouverture sur le monde et ses habitants.
Je crois qu’il y’a de ces lieux, qui en plus de générer en soi des sensations de bonheurs, nous marquent à jamais dans la profondeur des sensations et des réflexions qu’ils impliquent. Taghazout, havre de paix, village au mille saveurs et rencontres.
Afin de poursuivre notre projet de marque de vêtements, nous aimerions créer une nouvelle collection aux motifs inspirés de l'art de cette région du monde, cela, avant de partir.
Fureur de l’attente. De retour à Marrakech, nous avons quitté plus tôt notre séjour dans l’Atlas qui n’a pas été très fameux. Pour cause, la maladie.
Et soudain, tout devint vert. La rivière s’écoulant des montagnes donne des couleurs au décor. Ses flots sont habités par les enfants qui s’y baignent. De ces tableaux colorés ressort presque une odeur d'Inde.